GREEN SELIPAR

Première promotion de guides MVM -2007Un lien vers article sur les guides volontaires au Musée National, les MVM.

Ce n’est pas encore dans les guides de voyages, mais une visite de KL n’est pas complète sans une visite guidée des MVM. Nous étions 20 en 2007, ils sont maintenant 230. Une belle aventure pour ma part, riche de rencontres et de découvertes.
Sans MVM il n’y aurait pas eu de Green Selipar.

Lepetitjournal.com – FRANÇAISES DE KL – Rencontre avec les guides volontaires du Museum Negara.

Voir l’article original

Si vous avez l’occasion de passer quelques jours à Kuala Lumpur, poussez au delà des tours Petronas et du KLCC jusqu’au siège de Badan Warisan (2 Jalan Stonor, il faut y aller à pied ou en taxi).

Vous pourrez visiter une maison traditionnelle malaise en bois , Rumah Pengulu, profiter de l’exposition temporaire sur l’art ou le patrimoine malaisien et même réaliser des achats de livres et d’objets traditionnels.

Le site demeure une respiration hors du temps au coeur du centre ville hyper moderne et minéralisé de KL.

Pour plus d’info lire l’article de Marion Le Texier : Lepetitjournal.com – PATRIMOINE – Protéger l’ordinaire avec Badan Warisan ou celui que j’avais écrit en anglais sur greenselipar.com.

Vous pouvez poursuivre par la visite  du Centre National d’artisanat (Kraft Complex en face) qui organise des expositions permanentes et temporaires sur l’artisanat traditionnel malaisien et propose une large gamme d’articles à la vente.

Autour du bâtiment ne manquez pas  le  » village des artisans et artistes ».  Vous pouvez faire une pause à l’atelier batik et réaliser votre propre batik (les enfants comme les adultes en raffolent) puis rendre visite à Adeputra un de mes artistes malaisiens préférés.

Badan Warisan HQKL

Charles Cham, MalaccaSi vous visitez Malacca, n’oubliez pas de passer visiter une des boutiques ateliers de Charles Cham.  Vous aurez le loisir de découvrir sa peinture originale, engagée et humoristique et peut être aurez vous l’occasion de discuter avec ce sympathique Malaisien qui parle un peu français.

Si vous n’avez pas les moyens de vous offrir une toile, vous pouvez toujours vous contenter d’un ou plusieurs T-shirts qui arborent certaines de ses peintures et personnages. On ne les trouve qu’à Malacca alors n’attendez pas d’être à Kuala pour les acheter. C’est également un très bonne idée de cadeaux d’autant plus que la qualité des T-shirts est excellente et les impressions ne bougent pas même après plusieurs années.

Pour en savoir plus, lire l’article qui lui est consacré dans le « Petit Journal de Kuala Lumpur » :  Charles Cham, le peintre qui défendait les orang-outans.

Liens utiles :

http://www.charlescham.com
http://www.absolutearts.com/charlescham

Page facebook : http://www.facebook.com/pages/THE-ORANGUTAN-HOUSE/270362069913

A Malacca :  59 Lorong Hang Jebat.

Terre Sauvage de septembre 2012 consacre un article à l’initiative remarquable du village de Batu Puteh (Littéralement « Pierre Blanche ») au Sabah (Etat Malaisien au Nord Est de Bornéo).
C’est au hasard de l’écoute de l’émission hebdomadaire « CO2 mon Amour » de Denis Cheissoux (France Inter Samedi 14h) que j’ai entendu l’interview de Nicolas Van Ingen qui a réalisé ce reportage : je viens d’acheter le magazine et de lire l’article.
Lors de mon séjour l’année dernière au Sabah, j’avais demandé à un couple de guides locaux –Mary Ann et James Chew– de m’indiquer les initiatives de tourisme qui soient en accord avec les fondamentaux du développement durable : au delà de la protection – indispensable – de la nature des projet qui allient accueil des touristes, maintien de l’économie locale et bien être des communautés locales. Ils m’avaient dirigée vers un seul projet, celui mis en place par les villageois de Batu Puteh qui constitue le sujet du reportage de N.Van Ingen.
Je n’ai pas eu l’occasion de tester le séjour au village, mais je salue l’initiative de Terre Sauvage de consacrer un article à cette belle initiative engagée depuis 1997.

Comme je le relatais lors de mon séjour au Sabah en avril 2011, il est très difficile de construire par soit même un séjour « éco-responsable » au Sabah dans un budget raisonnable et en trouvant des garanties sur le volet « tourisme responsable » et ce type d’initiative n’est pas valorisé dans les guides de voyage ni par les offices de tourisme locaux.

Comme la Claquette Verte cible les touristes et visiteurs francophones, il me semble important de rappeler ici quelques recommandations.

La nature de Bornéo et en particulier celle autour de la rivière Kinabatangan offre une richesse et une diversité incontestable et particulièrement accessible, comparée à d’autres régions de l’Asie du Sud Est. Cependant la faune est imprévisible et il faut se préparer à ne pas voir tout et à ne pas rapporter d’aussi belles photos que celles publiées dans Terre Sauvage.

Les éléphants migrent et certaines saisons sont plus propices que d’autres à leur observation. Les orang outans (orang utan en malais « les hommes de la forêt ») qui vivent en solitaire sont très farouches et très difficiles à observer à l’état sauvage (vous en verrez à coup sur au centre de conservation de Sepilok – ne gachez surtout pas votre plaisir). Les nasiques (Proboscis) sont plus faciles à observer car ils vivent en colonies dans les arbres le long des rivières. Préparez vous à ne pas voir autant de faune que les splendides prospectus touristiques laissent envisager.

Quant à résider au village dans les « maisons d’hôte » c’est de mon point de vue ce qui existe de mieux pour échanger avec les habitants de la région et comprendre leurs relations avec la rivière et la forêt. A condition toute fois de parler soit l’anglais, soit le malais; d’accepter le niveau de confort des habitants qui se plient en quatre pour bien accueillir leurs hôtes, de respecter leur mode de vie et de rester humble.

Si vous êtes près à tenter l’aventure, voici le lien direct avec le village http://www.misowalaihomestay.com (en anglais of course) qui développe également tout le projet relaté par Terre Sauvage. 

Il est également possible de découvrir la belle nature de Bornéo en séjournant dans les Parcs Nationaux (au Sabah et au Sarawak) dont la gestion laisse parfois à désirer.

Pour aller plus loin consultez les autres articles sur Bornéo de la Claquette Verte.

Pour préparer votre voyage en Malaisie, n’oubliez pas de consulter les rubriques dédiées de la Claquette verte ( Préparer son voyage (conseils pratiques visa, santé..) ; Itinéraires adaptés (pour préparer vos itinéraires) et les autres rubriques en haut du site ) ainsi que la version anglaise de ce site, Greenselipar.

Pour ceux qui disposent de peu de temps, à seulement 2h de Kuala Lumpur vous pouvez aller découvrir la Rafflésia  et les papillons Rajah Brooke avec les aborigènes Semai, de l’association Ulu Geroh et passer la nuit au Gopeng Rainforest Resort  tenu par  Janice et David Foon qui travaillent en excellente relation avec eux.


La mauvaise nouvelle du jour, on peut faire une croix sur Air Asia X : les vols Kuala-Lumpur-Paris et KL-Londres vont s’arrêter en mars 2012. Cela aura fait tout juste un an que la ligne Paris-KL avait ouvert. Et pourtant la compagnie affiche des taux de remplissage de 80%.

Certes le barril de pétrole continue son ascension, certes les taxes d’aéroport sont élevées, mais bon c’était prévisible il y a un an, non? Quant à taper sur la taxe carbone, il faut arrêter, sinon je pleure.

En tout cas ce n’est pas bon pour les relations touristiques entre la France et la Malaisie et cela ne laisse rien présager de bon pour qu’un jour peut être je trouve des financement pour publier un guide de voyage de bonne qualité sur la Malaisie.

Pour les chanceux qui ont profité des soldes de X, profitez pleinement du nouvel an chinois (voir l’article que j’avais écrit l’année passée).

Beads International Conference 2011 Kuching Borneo

L’art des perles au Sarawak et plus largement sur toute l’île de Bornéo fait partie intégrante de la culture et des traditions des habitants de l’intérieur,  communément regroupés sous le terme Dayaks. Des routes maritimes très anciennes reliaient Bornéo au reste de monde et en particulier la Chine et l’Inde dont les perles étaient très prisées par  les Dayaks qui les échangeaient contre des produits de la forêt. Aujourd’hui les perles anciennes, transmises comme héritage familial, ont une haute valeur patrimoniale et artistique.  Elles sont recherchées par les collectionneurs et les habitants de Bornéo qui les utilisent encore dans leur parures traditionnelles et dans leur artisanat (portes bébé..). Produites aujourd’hui à petite échelle dans certains villages les « perles de Bornéo » font l’objet d’étude et les passionnés ont pris l’habitude de se retrouver dans les différents événements qui leur sont consacrés, comme la foire de Miri.

Ainsi est née la Conférence Internationale sur les Perles en 2010, la deuxième édition ayant lieu du 7 au 9 Octobre à Kuching. Cet événement d’envergure international est organisé par  Crafthub , une entreprise sociale, crée par Heidi Munan, experte passionnée par les « Perles de Bornéo », avec l’objectif de promouvoir l’artisanat du Sarawak et de développer sa commercialisation.

Des tours dans les hauts plateaux du Barrio  sont organisés pour les participants à la Conférence.

Programme détaillé ici Bib Co Brochure.

Des articles en lien avec le sujet, séjourner à Kuching  et sur Greenselipar (en anglais) :  the Tun Jugah Foundation, Musée du Pua Kumbu à Kuching ; The Society Atelier, organise le World Eco Fiber and Textiles Forum (WEFT) à Kuching; Mats of Sarawak by Heidi Munan; Iban sleeping Mat by Heidi Munan; GERAI OA The Indigenous people stall qui vend des « perles de Bornéo » produites dans les villages du Sarawak et de Sabah.

Lun Bawan ladies, Sidney Wee

Le Musée National des Textiles de Kuala Lumpur et Cultural Impact  organise une exposition inédite en Malaisie sur les ikats sacrés de l’île de Sumba (Indonésie) et du Sarawak (Bornéo, Malaisie).

Une occasion unique de découvrir ces fabuleux – au sens propre comme au figuré –  textiles qui faisaient autrefois partie des trésors de famille. Trop peu connus du grand public, les ikat doivent leur nom d’une technique dite de l’ikat qui signifie en malais, attacher ou nouer, en lien avec la technique de teinture et tissage utilisées pour créer les motifs. En voie de disparition en Indonésie et Malaisie, les ikats sont encore produits par quelques villages isolés, au Sarawak en Malaisie (Pua Kumbu tissés par les Ibans), et sur l’ile de Sumba dans l’archipel Indonésien. Ces textiles à la fois objets rituels et œuvres d’art constituent des pièces vivantes du patrimoine historique et culturel des peuples Iban et Sumbanese.

Des conférences et rencontres sont également prévues autour de l’exposition. Une première date à noter, celle du Forum Textile, mardi 20 septembre, à 15h, avec les interventions (en anglais) de Judy Knight Achjadi, Edric Ong and Marie-Christine Tseng. Entrée gratuite. Détail sur le site greenselipar.com

Profitez de l’occasion pour explorer l’ensemble du très beau Musée National des Textiles, ouvert en 2011, au coin de la place Merdeka dans le quartier historique du centre ville de Kuala-Lumpur (métro Masjid Jamek ou Pasar Seni). Vérifiez également auprès des Museum Volunteers Malaysia qui disposent de guides  francophones, peut être une rencontre en français sur le thème est elle prévue.

Article en lien : Kuching 
Article en anglais :  greenselipar.com

Pua Kumbu, Ikat du Sarawak

Ikat de Sumba

Finalement j’ai passé 2 nuits sur l’ile de Mantanani et puis je suis partie à Sepilok de l’autre coté de Sabah, sur la côte de la mer des Célèbes.

Pour être honnête, je n’aime pas Kota Kinabalu, et je n’avais qu’une envie, m’en aller loin de cette ville, pour laquelle je ne parviens pas à éprouver d’attachement, même après une seconde visite.

Ayant été totalement détruite par les japonais pendant la seconde guerre mondiale (à part 3 bâtiments), Kota Kinabalu – autrement appelée KK (prononcez kéké) – ne possède pas plus de charme que nos cités européennes construites après guerre. Le centre ville de KK est construit autour de rangées d’immeubles de 2-3 étages, au pied desquels se déclinent toutes les boutiques et restaurants habituels. Pas de véritable ouverture visuelle vers la mer qui est pourtant le joyau du lieu. En s’éloignant du centre ville, on retrouve les mêmes constructions grandiloquentes et superlatives des centres commerciaux, condominiums et lotissements de logements pour la classe moyenne qu’ailleurs en Malaisie.

Je dois travailler pour mettre en forme toutes mes notes sur le Sabah, Penang, Malacca et Kuala Lumpur, pour proposer mes petites sélections en français sur la Malaisie. Voir si je garde la forme blog ou si je passe au site web. J’ai pas de boulot par ailleurs, donc il va falloir être patient.

Le Mont Kinabalu vu de l'ile de Mantanani

Après 2 jours trop brefs à Penang, me voilà à Kota Kinabalu, au Sabah.

Je loge au Sarang Nova, hotel situé rue Gaya, à 2 pas de l’office de tourisme et de toutes les commodités pour manger, laver son linge, déjeuner et surfer sur internet.

Ma nuit a été courte car les voisins ont cassé le carrelage du trottoir de 22h à 1 heure du matin. J’avais l’impression qu’ils étaient dans ma salle de bain. Ici comme la main d’œuvre est étrangère et bien souvent illégale (en provenance des Philippines à quelques heures de bateau), elle est corvéable à merci, et largement exploitée par les locaux. Je vois notamment beaucoup de très jeunes gens (encore dans l’enfance) au travail.

Je n’ai pas encore pris ma décision sur mon itinéraire et mon emploi du temps. Je prévois d’aller au marché du dimanche de Kota Belud, j’ai envie de découvrir une long-house Rungus vers Kudat, et je veux m’exiler sur une île de rêve, à Mantanani. Mais comme les transports publics laissent à désirer, je ne sais pas encore comment je vais m’organiser. Je cherche depuis hier des nouvelles initiatives eco-responsables, mais il est difficile d’avoir de l’information. Ici les tours opérateurs se partagent le marché et pratiquent des prix sans commune mesure avec la qualité et le niveau de leurs guides ni les salaires de leurs employés. Le déficit de transport public de qualité favorise sans doute ce type de pratiques que je déplore. Ainsi c’est toujours la même et unique entreprise privée qui gère les tours et hébergements des parcs de Tabin et de la Vallée de Danau. Les prix pratiqués sont totalement prohibitifs. Je viens de discuter avec 2 contacts locaux et au lieu d’avancer sur mon programme, je trouve encore plus compliquée mon expédition !

La nuit porte conseil. En attendant je vais jeter un oeil sur les perles que Reita (Gerai OA) à collecté cette semaine dans les différents villages de Sabah. Je suis sensée en ramener 5 kg à KL.

Alors que le traditionnel envoi des voeux de bonne année s’est achevé hier, dernier jour du mois de janvier, le 3 février va commencer l’année du lapin (ou lièvre) du calendrier chinois.

Le début de l’année lunaire chinoise en Malaisie, où la communauté d’origine chinoise représente environ 25-30% de la population, marque l’ouverture d’un mois de festivités appelé « festival de printemps » (Spring festival).

Kuala Lumpur tout comme les villes à forte majorité d’origine Chinoise va vivre sa période annuelle de grand calme : les magasins, dont une grande partie est tenue par des sino-malaisiens, ferment leurs portes, la circulation automobile se fluidifie, les entrées des maisons se décorent de lanternes et autres pendeloques rouges et dorées. L’ensemble de la communauté d’origine chinoise rejoint son village ou sa ville d’origine pour célébrer en famille la fête la plus importante des pour les populations d’origine chinoise de Malaisie et d’Asie du sud-est.

Chinese new year in Kl by LAT (Berita Publushing 1990)

Si vous avez prévu de visiter les villes de la côte Ouest (à forte population d’origine chinoise) évitez les trois premiers jours de la nouvelle année chinoise. Tout est calme, les célébrations se passent en famille et à moins d’être invité personnellement, vous ne verrez pas grand chose de la fête. C’est aussi une période de congés pendant laquelle les destinations touristiques sont surbookées.

Soyez patients, les festivités vont durer jusqu’au quinzième jour du mois avec grand déballage d’animations, de friandises et de couleurs.

Pendant les premiers jours c’est la période idéale visiter les temples chinois qui sortent le grand jeu : décorations et illuminations multicolores, déballages de décorations à l’effigie de l’animal de l’année, friandises spéciales (variétés de biscuits secs, danses du lion avec distribution d’oranges. Certains temples ne lésinent pas sur les frais : cette année le temple Thean Hou (Kuala Lumpur) a fait venir 26 artisans « lanterniers » du Sichuan pour créer une mini Shanghai Expo.

Les sino-malaisiens sont très ouverts et vous serez toujours chaleureusement accueillis dans les temples. Contrairement à nos lieux de cultes occidentaux, ce sont des lieux ouverts à tous, visités en famille où cohabitent le bouddhisme, le confucianisme et le taoïsme. N’hésitez pas à demander poliment des explications sur certaines pratiques, c’est toujours avec plaisir que quelqu’un vous répondra.

La communauté malaisienne d’origine chinoise prolonge les traditions ancestrales pour la plupart disparues dans la Chine moderne. A chacun des 15 premiers jours correspond des traditions très spécifiques dont le but unique est d’attirer bonheur et prospérité sur la famille et d’éloigner les mauvais esprits et la malchance.

Ainsi le Yee Sang, plat de pâtes et de crudités se partage avec amis ou famille le septième jour : il faut touiller ensemble et monter le plus haut au dessus du plat pour que l’année soit prospère . Cette tradition qui perdure en Malaisie est au menu des grands restaurants chinois pendant cette période.

Vérifiez également dans les centres commerciaux les dates et heures de la venue d’une danse du lion. Les écoles de Kung fu Malaisiennes qui gardent depuis plusieurs années leur titre de championnes du monde font le bonheur des badauds pendant les spectacles commandés par les commerçants pour s’assurer le succès en affaires.

Le quinzième jour, Chap Goh Meh marque la fin des célérations de printemps. C’est à Penang, où la communauté Hokkien est très importante que cette célébration a le plus d’envergure : défilés des associations et clans Hokkien de George Town, animations, démonstrations d’adresse et d’acrobaties des écoles d’art martiaux rythmées par les tambours et les gongs, bâtons d’encens géants brulés devant les temples. La ville vit une joyeuse effervescence pendant Chap Goh Meh où toutes les communautés ethniques et religieuses sont conviées.

Cette année c’est celle du Lapin (ou du lièvre). Les vœux s’échangent au sein de la communauté chinoise et entre communautés par une formule qui souhaite la prospérité Gong Xi Fa Cai”.

Copyright Catherine Bossis, pour la Claquette verte
Le 2 février 2011, Echirolles, France

Version anglaise